Un groupe de runners auquel je me suis joint pour les sorties routes, proposait une sortie "initiation trail".
Je me suis dit pourquoi pas !
Le jour "J" arrivé, frais et arborant un beau sourire me voilà avec mes belles chaussures de trail toutes neuves.
Allez c'est parti, petit chemin en forêt, petites bosses, wouah c'est cool !!
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Le 12 octobre 2014, j'effectuais pour la première fois les 20 kilomètres de Paris. Ce défi que je me suis lancé en voyant un bon nombre de personnes de mon club (Jeunesse Cappelloise Athlétisme) y participer.
C'est en partageant des séances d'entrainements que des amitiés se forment et/ou se renforcent. Un programme de plusieurs semaines a été élaboré : séances de fractionnés courts / longs / pyramides, footing de longue durée dans le sable de Leffrinckoucke (plage du Nord 59)...
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C'était en 2018 sur le défi de Murbach, je voulais ma revanche de l'année passée où j'avais galéré pour finir le trail (32km et 1800m de D+).
Cette fois-ci j'étais prêt, super sensations, gestion de course parfaite jusqu'au moment de la chute en descente sur un petit sentier au bord d'un ravin....
Mon pied est allé trop près du ravin et le sol s'est dérobé.
Résultat : chute de plusieurs mètres en contrebas dans les ronces. Tout le monde s'arrête pour me remonter sur le sentier. Je suis en sang au niveau des genoux et coudes mais pas de douleur, donc je reprend jusqu'à un ruisseau pour nettoyer tout ça. Le prochain ravito n'étant pas loin, je continue et je déciderai là bas si je peux continuer ( il restait encore 10km et du dénivelé).
Après avoir repris des forces et m'être assuré que c'était possible de continuer, je repars tranquillement. Première descente après le ravito, énorme douleur dans le genou, arrêt net, impossible de courir, juste possible de marcher, je continue coûte que coûte. Je me fais doubler sans arrêt. Dès que ça remonte, je peux à nouveau courir sans douleur mais à chaque descente c'est l'enfer. Je finis malgré tout la course en pleurs ( moral au plus bas et derniers kms très longs en marchant et en se faisant doubler. ..). Ça m'a au moins appris à assurer mes appuis dorénavant.
2019, Marathon La Rochelle (challenge entreprise relais 4 collègues)
Cette année là, les conditions météo n'étaient pas top ( pluie battante, froid ) ainsi qu'un vent de face le long du port.
Le matin même, un de mes collègues doit renoncer au départ à cause d'une blessure donc, je prends la décision d'enchaîner deux relais à suivre.
Je passe de 10km à 21km et voulant courir à l'allure à laquelle je m'était préparé, je décide de
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Maratrail été 2019, 42km, 2500 D+.
C'est en couple que nous prenons la ligne de départ ce matin là, Léo et moi à 6h du matin.
Pourtant, c'est bien vite que je dis à Léo de me laisser, et de partir devant à sa vitesse : "on se retrouvera ce soir à l'arrivée".
C'est alors que je pars pour affronter ces 42km en montagne. 2e trail de ma vie et pas vraiment préparée, je m'élance. Stressée par les barrières horaires je ne pense qu'à ça, et c'est grâce à elles que je rythme ma course ! A chaque fois, j'arrive au check point 20min avant. Je suis bien. La barrière de l'arrivée est de 8h. Selon mes calculs, je devrais arriver pile poil.
Mais c'est alors qu'au bout de 7h et des brouettes, ma montre me lâche, mon portable n'a bien évidement pas de réseau. Et là, personne en vu. Je n'ai donc plus le moyen de savoir où j'en suis exactement dans ma course, et combien de temps il me reste. Je suis de toute façon devenue tel un robot, je ne réfléchis plus, juste : je cours.
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Salut tous le monde,
D’un confinement à l’autre je suis passé de 27 min au 5 km a 22 min avec une astuce ! Que du Plaisir et surtout repoussez sa limite mentale.
Le plus dur en course à pieds c’est le mental comme dirait tous bons coureurs. Et c’est vrai !
Il nous torture l’esprit nous disant que l’on aura du mal, que peut-être on fera mieux que la dernière fois mais ça risque d’être compliqué.
Je vous invite tous à repousser cette barrière mentale, il n’y a pas de limite. C’est en repoussant mentalement cette barrière mentale que l’on progresse. Et la clé du succès pour ma part est là.
Semaine après semaine, entrainement après entrainement avec un seul objectif : repousser toujours mes limites qui sont surtout mentales .
Runnez bien les copains, le sport pour la vie !
Ce matin, le temps est gris, orageux ... Autrement dit, c'est une des belles occasions d'aller courir sans souffrir de la chaleur car nous en sommes aux confins de la Dordogne et de la Gironde et les températures sont élevées ... La dernière ondée achevée, nous partons au fil de la Dordogne, entre vignes et vergers. Au programme, une sortie de 13 km à la cool ... [...] Lire la suite (estimé à moins d'1 minute de lecture.)
Je n'avais pas couru de longue distance depuis plus de 31 ans.
En 2017, jour de mon anniversaire, j'ai fait le marathon de Paris. Ainsi j'ai fêté mes 60 ans en courant.
Je me suis entraîné pendant 4/5 mois, uniquement sur 10 ou 12 km, sauf un 21 km un mois avant. Toujours tout seul, sans cardio ni aucun truc connecté.
La veille, je suis allé cherché
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Le jogging de la fraise à Verlighem est aussi connu pour sa course de 10k que pour son ravito final avec une barquette de fraise par personne et sa serviette de toilette en cadeau à chaque participant...
C'est une chouette petite course qui se situe fin mai début juin. Après un hiver qui joue parfois les prolongations, c'est souvent l'occasion de ressortir son maillot sans manche !
Cette année là, ne me demandez pas
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Trail du Morbihan 2019 : on part pour 58 km autour d'une des plus belles baies du monde (dixit les organisateurs...). La ballade est à la hauteur de la promesse avec de superbes paysages. Départ de Sarzeau pour une arrivée sur le port de Vannes. On traverse d'abord des zones urbaines pour rejoindre la forêt afin d'atteindre le bord de mer...
Après une trentaine de kilomètres, malgré la relative fraîcheur (la France est sous la canicule à cette époque), la moiteur est un peu difficile pour nous, coureurs des milieux arides... Oui, Lille est en sécheresse aussi !
On attaque alors une partie étonnante
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